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Le REQ de la RCN est un système centralisé de chauffage et de refroidissement qui chauffe 80 bâtiments fédéraux et en refroidit 67, à Ottawa et à Gatineau, notamment les édifices du Parlement et la Cour suprême du Canada.
Ce réseau, l’un des plus anciens et des plus importants d’Amérique du Nord, est composé de cinq centrales de chauffage et de refroidissement et de quatre réseaux de distribution qui acheminent de la vapeur, de l’eau chaude à haute température et de l’eau froide sur plus de 14 km de conduites souterraines. Construit il y a 50 à 100 ans, le REQ de la RCN est en cours de modernisation afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) provenant de ses propres activités. Une fois achevé en 2026, il sera l’un des plus écologiques de son genre et de sa taille en Amérique du Nord.
Ce réseau, l’un des plus anciens et des plus importants d’Amérique du Nord, est composé de cinq centrales de chauffage et de refroidissement et de quatre réseaux de distribution qui acheminent de la vapeur, de l’eau chaude à haute température et de l’eau froide sur plus de 14 km de conduites souterraines. Construit il y a 50 à 100 ans, le REQ de la RCN est en cours de modernisation afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) provenant de ses propres activités. Une fois achevé en 2026, il sera l’un des plus écologiques de son genre et de sa taille en Amérique du Nord.
Le PASE représente l’une des initiatives les plus importantes du gouvernement du Canada en matière de changements climatiques lorsqu’il s’agit de réduire les émissions de GES provenant de ses propres activités.
Services publics et Approvisionnement Canada (SPAC) a lancé le PASE pour accroître l’efficacité globale et la rentabilité du REQ de la RCN, qui chauffe 80 bâtiments fédéraux et en refroidit 67, à Ottawa et à Gatineau.
Le projet comprend la remise en état complète et la modernisation du système vieillissant, ainsi que la conversion mécanique de tous les bâtiments actuellement reliés au REQ de la RCN. En réduisant de manière significative l’intensité énergétique du chauffage et de la climatisation des bâtiments du réseau, le PASE permettra de réaliser des économies de près d’un demi-milliard de dollars (pour la période de 2026 à 2055), en plus de réduire 92 pour cent des émissions de GES par rapport au niveau de 2005. D’ici 2030, l’ensemble du réseau sera en position d’être carboneutre.
En modernisant la façon dont SPAC fournit les services de chauffage et de refroidissement, le PASE permettra d’atteindre 15 pour cent de l’objectif du Ministère visant à réaliser des activités immobilières carboneutres d’ici 2050. Il s’agit d’une contribution importante pour une seule initiative.
Services publics et Approvisionnement Canada (SPAC) a lancé le PASE pour accroître l’efficacité globale et la rentabilité du REQ de la RCN, qui chauffe 80 bâtiments fédéraux et en refroidit 67, à Ottawa et à Gatineau.
Le projet comprend la remise en état complète et la modernisation du système vieillissant, ainsi que la conversion mécanique de tous les bâtiments actuellement reliés au REQ de la RCN. En réduisant de manière significative l’intensité énergétique du chauffage et de la climatisation des bâtiments du réseau, le PASE permettra de réaliser des économies de près d’un demi-milliard de dollars (pour la période de 2026 à 2055), en plus de réduire 92 pour cent des émissions de GES par rapport au niveau de 2005. D’ici 2030, l’ensemble du réseau sera en position d’être carboneutre.
En modernisant la façon dont SPAC fournit les services de chauffage et de refroidissement, le PASE permettra d’atteindre 15 pour cent de l’objectif du Ministère visant à réaliser des activités immobilières carboneutres d’ici 2050. Il s’agit d’une contribution importante pour une seule initiative.
Un REQ constitue une façon très efficace et durable sur le plan environnemental de chauffer et de refroidir plusieurs bâtiments. Il est composé d’au moins un centre énergétique qui fournit de l’eau chaude et/ou froide aux bâtiments reliés au moyen d’un réseau de tuyaux.
Selon le Programme des Nations Unies pour l’environnement (en anglais seulement), les REQ comptent « parmi les solutions les moins chères et les plus efficaces si on entend réduire les émissions de gaz à effet de serre et la demande d’énergie primaire ».
Les REQ sont utilisés depuis des siècles partout dans le monde. Il existe de vastes REQ dans plusieurs grandes villes, comme Helsinki, Copenhague, Paris, Londres, Berlin, Seattle, New York, San Francisco, Vancouver, Toronto, pour ne nommer que celles-là.
Selon le Programme des Nations Unies pour l’environnement (en anglais seulement), les REQ comptent « parmi les solutions les moins chères et les plus efficaces si on entend réduire les émissions de gaz à effet de serre et la demande d’énergie primaire ».
Les REQ sont utilisés depuis des siècles partout dans le monde. Il existe de vastes REQ dans plusieurs grandes villes, comme Helsinki, Copenhague, Paris, Londres, Berlin, Seattle, New York, San Francisco, Vancouver, Toronto, pour ne nommer que celles-là.
Le REQ de la RCN est l’un des plus anciens et des plus importants en Amérique du Nord. Construit il y a 50 à 100 ans, il utilise des technologies obsolètes et nombre de ses composants sont en fin de vie.
D’ici à 2026, le REQ de la RCN tirera parti des ressources énergétiques durables, entraînant ainsi une réduction de 92 pour cent des émissions de GES par rapport au niveau de 2005, ce qui en fera l’un des réseaux énergétiques de quartier les plus écologiques, par sa nature et son ampleur. Comme la modernisation du système réduira considérablement l’intensité énergétique du chauffage et du refroidissement des bâtiments du réseau, le PASE permettra également de réaliser des économies de près d’un demi-milliard de dollars (pour la période de 2026 à 2055).
D’ici à 2026, le REQ de la RCN tirera parti des ressources énergétiques durables, entraînant ainsi une réduction de 92 pour cent des émissions de GES par rapport au niveau de 2005, ce qui en fera l’un des réseaux énergétiques de quartier les plus écologiques, par sa nature et son ampleur. Comme la modernisation du système réduira considérablement l’intensité énergétique du chauffage et du refroidissement des bâtiments du réseau, le PASE permettra également de réaliser des économies de près d’un demi-milliard de dollars (pour la période de 2026 à 2055).
Le REQ de la RCN, l’un des plus anciens et des plus grands d’Amérique du Nord, a été construit il y a 50 à 100 ans et utilise des technologies dépassées. Un grand nombre de ses composants sont en fin de vie.
Le PASE est mis en œuvre dans le cadre d’un partenariat entre le gouvernement fédéral et Innovate Energy, un consortium local doté d’une expertise mondiale.
En 2019, le gouvernement du Canada a conclu un contrat de 35 ans avec Innovate Energy pour la Conception, Construction, Financement, Exploitation, et Entretien (CCFEO) le REQ de la RCN. Innovate Energy se compose de PCL Constructors et de Black & McDonald en tant que concepteurs-constructeurs, et d’EQUANS en tant que fournisseur de services d’exploitation et d’entretien, avec le soutien de WSP, de BBB Architectes et autres.
Grâce aux ressources et à l’expérience mises en commun, Innovate Energy propose un réseau unique et révolutionnaire qui aidera le gouvernement du Canada à devenir un chef de file mondial dans la lutte contre les changements climatiques et la course visant l’atteinte de la carboneutralité.
En 2019, le gouvernement du Canada a conclu un contrat de 35 ans avec Innovate Energy pour la Conception, Construction, Financement, Exploitation, et Entretien (CCFEO) le REQ de la RCN. Innovate Energy se compose de PCL Constructors et de Black & McDonald en tant que concepteurs-constructeurs, et d’EQUANS en tant que fournisseur de services d’exploitation et d’entretien, avec le soutien de WSP, de BBB Architectes et autres.
Grâce aux ressources et à l’expérience mises en commun, Innovate Energy propose un réseau unique et révolutionnaire qui aidera le gouvernement du Canada à devenir un chef de file mondial dans la lutte contre les changements climatiques et la course visant l’atteinte de la carboneutralité.
La modernisation du REQ de la RCN a commencé en 2019 et comprend la conversion du système de vapeur actuel en un réseau d’eau chaude à basse température et des refroidisseurs électriques plus économe en énergie. Le REQ sera complètement transformé et opérationnel en 2026.
Le projet comprend la construction de certains des centres énergétiques les plus propres de leur genre en Amérique du Nord, dont trois sont de nouvelles constructions et un est une modernisation d’une installation existante. Des travaux sont également en cours pour accroître la résilience et la redondance du réseau en améliorant la connexion du réseau de tuyaux souterrains qui sont reliés au REQ, ce qui se traduit par deux boucles de distribution, contre quatre auparavant.
Le projet comprend la construction de certains des centres énergétiques les plus propres de leur genre en Amérique du Nord, dont trois sont de nouvelles constructions et un est une modernisation d’une installation existante. Des travaux sont également en cours pour accroître la résilience et la redondance du réseau en améliorant la connexion du réseau de tuyaux souterrains qui sont reliés au REQ, ce qui se traduit par deux boucles de distribution, contre quatre auparavant.
Dans le cadre du PASE, SPAC entreprend également la conversion de tous les bâtiments actuellement connectés au système, parallèlement à la modernisation du REQ de la RCN. Compte tenu de la transition vers un système d’eau chaude à basse température pour le chauffage et de re refroidisseurs électriques pour le refroidissement, l’équipe du Plan de conversion des immeubles utilisateurs (PCIU) travaille à convertir les systèmes de chauffage ou de refroidissement dans les bâtiments connectés afin d’assurer la compatibilité avec cette nouvelle technologie en installant des systèmes de transfert d’énergie (STE). Le volet de la conversion des bâtiments du PASE a été lancé en 2017 et devrait prendre fin en 2024-2025.
Avantages
En réduisant de manière significative l’intensité énergétique du chauffage et du refroidissement des bâtiments du réseau, le PASE permettra de réaliser des économies de près d’un demi-milliard de dollars (pour la période de 2026 à 2055).
Par ailleurs, une fois opérationnel en 2026, le REQ modernisé de la RCN sera l’un des plus écologiques de son genre et de sa taille en Amérique du Nord. Il permettra de réduire de 92 pour cent les émissions de GES liées au chauffage et au refroidissement des bâtiments reliés au réseau par rapport au niveau de 2005. D’ici 2030, le réseau sera en position d’être carboneutre.
Par ailleurs, une fois opérationnel en 2026, le REQ modernisé de la RCN sera l’un des plus écologiques de son genre et de sa taille en Amérique du Nord. Il permettra de réduire de 92 pour cent les émissions de GES liées au chauffage et au refroidissement des bâtiments reliés au réseau par rapport au niveau de 2005. D’ici 2030, le réseau sera en position d’être carboneutre.
Les centres énergétiques modernisés du PASE seront parmi les nouveaux visages de l’énergie propre à l’échelle mondiale. Le fait de construire les bâtiments en grande partie sous terre permet d’utiliser l’espace au-dessus comme de vastes parcs urbains, au bénéfice des collectivités environnantes. Ils seront agréables sur le plan architectural et contribueront à leur utilisation et à leur appréciation par la collectivité grâce à des jardins publics, des cours et des liaisons améliorées pour y marcher, y pédaler, ou y rouler.
Les centres énergétiques modernisés du PASE seront parmi les nouveaux visages de l’énergie propre à l’échelle mondiale. Ils transformeront « les zones grises en zones vertes », en convertissant d’anciens stationnements en espaces mémorables jamais vue auparavant dans la région. Ils seront agréables sur le plan architectural et contribueront à leur utilisation et à leur appréciation par la collectivité grâce à des jardins accessibles, des cours et des liaisons améliorées pour y marcher, y pédaler, ou y rouler.
Il y aura également un nouveau centre d’éducation des visiteurs (CEV) au centre énergétique Cliff. Ce centre permettra de sensibiliser les gens à la lutte contre les changements climatiques et au leadership du Canada en matière de technologies vertes, et de mettre en valeur les technologies renouvelables et les avantages environnementaux du système. Le centre comprendra également des fenêtres avec vue sur les salles mécaniques, ce qui permettra au public de voir les innovations du PASE et d’en apprendre davantage sur le sujet.
Il y aura également un nouveau centre d’éducation des visiteurs (CEV) au centre énergétique Cliff. Ce centre permettra de sensibiliser les gens à la lutte contre les changements climatiques et au leadership du Canada en matière de technologies vertes, et de mettre en valeur les technologies renouvelables et les avantages environnementaux du système. Le centre comprendra également des fenêtres avec vue sur les salles mécaniques, ce qui permettra au public de voir les innovations du PASE et d’en apprendre davantage sur le sujet.
Les centres énergétiques du PASE, modernisés et à l’architecture agréable, remplaceront les anciennes centrales de chauffage et de refroidissement du réseau et seront parmi les nouveaux visages de l’énergie propre au Canada. Ils contribueront à leur utilisation et à leur appréciation par la collectivité grâce à des jardins, des cours, des œuvres d’art public et des liaisons améliorées pour y marcher, y pédaler, ou y rouler.
L’une des principales innovations du projet a été de trouver des solutions architecturales à la conception traditionnelle des centrales. Dans le passé, ces centrales de chauffage et de refroidissement avaient une conception très utilitaire qui ne s’intégrait pas bien dans les collectivités environnantes. Les centres énergétiques sont conçus en pensant à la communauté, ce qui en fait des espaces dont le public peut profiter.
L’une des principales innovations du projet a été de trouver des solutions architecturales à la conception traditionnelle des centrales. Dans le passé, ces centrales de chauffage et de refroidissement avaient une conception très utilitaire qui ne s’intégrait pas bien dans les collectivités environnantes. Les centres énergétiques sont conçus en pensant à la communauté, ce qui en fait des espaces dont le public peut profiter.
Ampleur et importance
La modernisation du REQ de la RCN fera progresser considérablement les efforts du gouvernement du Canada pour atteindre ses objectifs en matière de changements climatiques. En changeant radicalement la manière dont les bâtiments fédéraux reliés au REQ de la RCN sont chauffés et refroidis, le PASE réduira de manière importante leur empreinte environnementale. Le PASE contribuera à atteindre 15 pour cent de l’objectif de SPAC visant à réaliser des activités immobilières carboneutres d’ici 2050. Il s’agit d’une contribution importante pour une seule initiative.
Selon l’International Energy Association (en anglais seulement), le secteur des bâtiments représente plus d’un tiers de la consommation d’énergie et des émissions mondiales. Cela comprend les émissions de GES générées par la construction, le chauffage, le refroidissement et l’éclairage des bâtiments (tels que les habitations et les entreprises), ainsi que l’alimentation des appareils et de l’équipement qui y sont installés.
Le gouvernement du Canada s’est engagé à écologiser ses propres activités pour soutenir les objectifs de durabilité du Canada établis dans l’Accord de Paris sur les changements climatiques. Il s’est fixé pour objectif de réduire ses propres émissions de GES de 40 pour cent d’ici 2025 et d’au moins 90 pour cent par rapport au niveau de 2005 d’ici 2050, ce qui inclut les bâtiments fédéraux et les parcs automobiles.
Déjà, les efforts de modernisation ont déjà permis de réduire de 30 pour cent les émissions de GES du REQ de la RCN par rapport au niveau de 2005. D’ici 2026, le système fonctionnera avec de l’eau chaude à basse température pour le réchauffement et des refroidisseurs électriques pour le refroidissement, ce qui entraînera une diminution de 92 pour cent. D’ici 2030, l’ensemble du réseau sera en position d’être carboneutre.
Selon l’International Energy Association (en anglais seulement), le secteur des bâtiments représente plus d’un tiers de la consommation d’énergie et des émissions mondiales. Cela comprend les émissions de GES générées par la construction, le chauffage, le refroidissement et l’éclairage des bâtiments (tels que les habitations et les entreprises), ainsi que l’alimentation des appareils et de l’équipement qui y sont installés.
Le gouvernement du Canada s’est engagé à écologiser ses propres activités pour soutenir les objectifs de durabilité du Canada établis dans l’Accord de Paris sur les changements climatiques. Il s’est fixé pour objectif de réduire ses propres émissions de GES de 40 pour cent d’ici 2025 et d’au moins 90 pour cent par rapport au niveau de 2005 d’ici 2050, ce qui inclut les bâtiments fédéraux et les parcs automobiles.
Déjà, les efforts de modernisation ont déjà permis de réduire de 30 pour cent les émissions de GES du REQ de la RCN par rapport au niveau de 2005. D’ici 2026, le système fonctionnera avec de l’eau chaude à basse température pour le réchauffement et des refroidisseurs électriques pour le refroidissement, ce qui entraînera une diminution de 92 pour cent. D’ici 2030, l’ensemble du réseau sera en position d’être carboneutre.
La transition du REQ de la RCN des combustibles fossiles à l’énergie propre représente un changement majeur dans la façon de penser conventionnelle sur la façon de chauffer et de refroidir les bâtiments et fait progresser considérablement les efforts que déploie le Canada pour atteindre ses objectifs en matière de changements climatiques. Il établit également un précédent important que d’autres administrations nationales et internationales peuvent reproduire, faisant du Canada un chef de file innovateur au chapitre des bâtiments carboneutres et de la technologie verte de pointe. En conformité avec le rôle du Canada à titre de chef de file mondial dans le domaine de l’utilisation des technologies propres et de l’énergie renouvelable, le PASE peut servir d’étude de cas future pour montrer aux autres administrations partout dans le monde comment elles peuvent décarboniser l’exploitation de leurs bâtiments.
Parmi les nombreuses innovations du PASE, trois sont fondamentales pour le fonctionnement du REQ de la RCN :
• La première innovation est qu’il s’agit de la première conversion d’un vaste réseau énergétique de quartier public en Amérique du Nord, afin de passer d’un système à vapeur à un système à l’eau chaude à basse température pour le chauffage et aux refroidisseurs électriques pour le refroidissement. Elle va réduire de manière importante l’intensité énergétique du chauffage et du refroidissement des bâtiments du réseau, ce qui permettra de réaliser des économies de près d’un demi-milliard de dollars (pour la période de 2026 à 2055), en plus de réduire considérablement les émissions de GES.
• La deuxième innovation a été la décision d’utiliser de l’électricité décarbonée à 99 pour cent d’Hydro-Québec pour remplacer le gaz naturel comme principale source d’énergie de quartier entraînera une diminution de 92 pour cent des GES par rapport aux données de référence de 2005. La technologie des bâtiments intelligents a également été introduite pour assurer un contrôle continu de l’efficacité énergétique du réseau.
• La troisième innovation a été la décision de regrouper trois des quatre réseaux de distribution existants pour créer une grande boucle de chauffage et de refroidissement pour le centre-ville d’Ottawa et de Gatineau. L’objectif consiste à relier le Centre énergétique de Gatineau aux Centre énergétique de Cliff et du pré Tunney en agrandissant le réseau souterrain de conduites du réseau. Cela se traduira par une capacité supplémentaire (aux heures de pointe) et des redondances pour assurer le fonctionnement continu du REQ.
D’autres innovations sont à l’étude pour introduire, d’ici 2030, de nouvelles sources d’énergie durables afin de rendre l’ensemble du système en position d’être carboneutre.
Parmi les nombreuses innovations du PASE, trois sont fondamentales pour le fonctionnement du REQ de la RCN :
• La première innovation est qu’il s’agit de la première conversion d’un vaste réseau énergétique de quartier public en Amérique du Nord, afin de passer d’un système à vapeur à un système à l’eau chaude à basse température pour le chauffage et aux refroidisseurs électriques pour le refroidissement. Elle va réduire de manière importante l’intensité énergétique du chauffage et du refroidissement des bâtiments du réseau, ce qui permettra de réaliser des économies de près d’un demi-milliard de dollars (pour la période de 2026 à 2055), en plus de réduire considérablement les émissions de GES.
• La deuxième innovation a été la décision d’utiliser de l’électricité décarbonée à 99 pour cent d’Hydro-Québec pour remplacer le gaz naturel comme principale source d’énergie de quartier entraînera une diminution de 92 pour cent des GES par rapport aux données de référence de 2005. La technologie des bâtiments intelligents a également été introduite pour assurer un contrôle continu de l’efficacité énergétique du réseau.
• La troisième innovation a été la décision de regrouper trois des quatre réseaux de distribution existants pour créer une grande boucle de chauffage et de refroidissement pour le centre-ville d’Ottawa et de Gatineau. L’objectif consiste à relier le Centre énergétique de Gatineau aux Centre énergétique de Cliff et du pré Tunney en agrandissant le réseau souterrain de conduites du réseau. Cela se traduira par une capacité supplémentaire (aux heures de pointe) et des redondances pour assurer le fonctionnement continu du REQ.
D’autres innovations sont à l’étude pour introduire, d’ici 2030, de nouvelles sources d’énergie durables afin de rendre l’ensemble du système en position d’être carboneutre.
Les REQ sont utilisés depuis des siècles partout dans le monde. Il existe de vastes REQ dans plusieurs grandes villes, et plusieurs d’entre elles modernisent activement leurs REQ afin d’en améliorer l’efficacité, de réduire les émissions de carbone et de favoriser le développement durable. Un avantage clé des REQ modernes est qu’ils permettent de chauffer et de refroidir des bâtiments au moyen de différentes solutions énergétiques à faibles émissions de carbone et renouvelables, dont la microréacteurs modulaires, le gaz naturel renouvelable, les thermopompes, les systèmes d’énergie éolienne et solaire et autres.
Les initiatives et projets particuliers varient d’une ville à l’autre, mais voici quelques exemples de villes qui modernisent leurs REQ :
• Copenhague (Danemark)
• Helsinki (Finlande)
• Stockholm (Suède)
• Oslo (Norvège)
• Vancouver (Canada)
• Paris (France)
• New York (États-Unis)
• Toronto (Canada)
• Vienne (Autriche)
• Reykjavik (Islande)
Selon le Programme des Nations Unies pour l’environnement (en anglais seulement), les REQ comptent « parmi les solutions les moins chères et les plus efficaces si on entend réduire les émissions de gaz à effet de serre et la demande d’énergie primaire ». Alors que d’autres villes commencent à emboîter le pas, le PASE établit un précédent important que d’autres administrations internationales peuvent reproduire, faisant du Canada un chef de file innovateur au chapitre des bâtiments carboneutres et de la technologie verte de pointe.
Les initiatives et projets particuliers varient d’une ville à l’autre, mais voici quelques exemples de villes qui modernisent leurs REQ :
• Copenhague (Danemark)
• Helsinki (Finlande)
• Stockholm (Suède)
• Oslo (Norvège)
• Vancouver (Canada)
• Paris (France)
• New York (États-Unis)
• Toronto (Canada)
• Vienne (Autriche)
• Reykjavik (Islande)
Selon le Programme des Nations Unies pour l’environnement (en anglais seulement), les REQ comptent « parmi les solutions les moins chères et les plus efficaces si on entend réduire les émissions de gaz à effet de serre et la demande d’énergie primaire ». Alors que d’autres villes commencent à emboîter le pas, le PASE établit un précédent important que d’autres administrations internationales peuvent reproduire, faisant du Canada un chef de file innovateur au chapitre des bâtiments carboneutres et de la technologie verte de pointe.
De 2019 à 2026, Innovate Energy concevra, construira et convertira le système du REQ de la RCN à vapeur en un système plus écoénergétique à base d’eau chaude à basse température et des refroidisseurs électriques, tout en continuant d’assurer le chauffage et le refroidissement en exploitant les installations existantes.
Le projet comprend la construction de certains des centres énergétiques les plus propres de leur genre en Amérique du Nord :
• Le nouveau Centre énergétique Cliff près de la Colline du Parlement
• Le nouveau Centre énergétique du pré Tunney juste à l’ouest du centre-ville d’Ottawa
• Le nouveau Centre énergétique de Gatineau (CEG) à Hull, à Gatineau
• Le Centre énergétique des Buttes de la Confédération, rénové et modernisé, aux Buttes de la Confédération, à Ottawa
Afin d’assurer une plus grande résilience et une plus grande redondance, des travaux de construction sont en cours pour mieux relier les réseaux de distribution, ce qui se traduira par deux boucles de distribution, soit une grande boucle de chauffage et de refroidissement pour le centre-ville d’Ottawa et de Gatineau, reliant le Centre énergétique de Gatineau aux centres énergétiques de Cliff et du pré Tunney; la deuxième boucle est située sur le complexe d’emploi fédéral des Buttes de la Confédération.
Des travaux sont également en cours dans chaque bâtiment relié au REQ dans le but de moderniser ses systèmes de chauffage et de refroidissement, s’il y a lieu, afin de permettre le raccordement aux nouveaux systèmes.
Le contrat de conception et de construction est évalué à 1,3 milliars de dollars et sera achevé d’ici 2026. La deuxième partie du contrat vise l’exploitation et l’entretien du REQ de la RCN sur une période de 35 ans (de 2019 à 2055) et est évaluée à 2,1 milliards de dollars. En 2021, le projet a été classé comme étant le 23e plus grand projet d’infrastructure (en anglais seulement) au Canada, avec plus de 1 800 travailleurs de la construction.
Le projet comprend la construction de certains des centres énergétiques les plus propres de leur genre en Amérique du Nord :
• Le nouveau Centre énergétique Cliff près de la Colline du Parlement
• Le nouveau Centre énergétique du pré Tunney juste à l’ouest du centre-ville d’Ottawa
• Le nouveau Centre énergétique de Gatineau (CEG) à Hull, à Gatineau
• Le Centre énergétique des Buttes de la Confédération, rénové et modernisé, aux Buttes de la Confédération, à Ottawa
Afin d’assurer une plus grande résilience et une plus grande redondance, des travaux de construction sont en cours pour mieux relier les réseaux de distribution, ce qui se traduira par deux boucles de distribution, soit une grande boucle de chauffage et de refroidissement pour le centre-ville d’Ottawa et de Gatineau, reliant le Centre énergétique de Gatineau aux centres énergétiques de Cliff et du pré Tunney; la deuxième boucle est située sur le complexe d’emploi fédéral des Buttes de la Confédération.
Des travaux sont également en cours dans chaque bâtiment relié au REQ dans le but de moderniser ses systèmes de chauffage et de refroidissement, s’il y a lieu, afin de permettre le raccordement aux nouveaux systèmes.
Le contrat de conception et de construction est évalué à 1,3 milliars de dollars et sera achevé d’ici 2026. La deuxième partie du contrat vise l’exploitation et l’entretien du REQ de la RCN sur une période de 35 ans (de 2019 à 2055) et est évaluée à 2,1 milliards de dollars. En 2021, le projet a été classé comme étant le 23e plus grand projet d’infrastructure (en anglais seulement) au Canada, avec plus de 1 800 travailleurs de la construction.
Actuellement, le REQ de la RCN chauffe 80 bâtiments fédéraux et en refroidit 67, à Ottawa et à Gatineau.
Le PASE cherche à offrir ses avantages environnementaux à d’autres parties, étudiant la possibilité d’élargir le REQ de la et de permettre à un nombre accru de bâtiments, de se connecter à la boucle de distribution.
En prévision de cette expansion, les efforts de modernisation comprennent l’installation d’une capacité de production supplémentaire en vue d’une expansion future. Les centres énergétiques ont également été conçus avec un espace supplémentaire pour accueillir des chaudières et des refroidisseurs supplémentaires.
Le PASE cherche à offrir ses avantages environnementaux à d’autres parties, étudiant la possibilité d’élargir le REQ de la et de permettre à un nombre accru de bâtiments, de se connecter à la boucle de distribution.
En prévision de cette expansion, les efforts de modernisation comprennent l’installation d’une capacité de production supplémentaire en vue d’une expansion future. Les centres énergétiques ont également été conçus avec un espace supplémentaire pour accueillir des chaudières et des refroidisseurs supplémentaires.
En réduisant de manière importante l’intensité énergétique du chauffage et du refroidissement de plusieurs bâtiments du réseau, le PASE permettra de réaliser des économies de près d’un demi-milliard de dollars pour la période de 2026 à 2055.
En outre, le PASE crée des emplois, dont la plupart sont situés dans la RCN. Comptant plus de 1 800 travailleurs de la construction, le projet s’est classé au 23e rang des projets d’infrastructure (en anglais seulement) affichant la plus grande envergure au Canada en 2021.
Le PASE s’est également engagé auprès de la Première Nation algonquine Anishinabe, en explorant les possibilités commémoratives et économiques afin de garantir une forte présence algonquine dans les projets. Ce faisant, le PASE crée des possibilités économiques pour les collectivités algonquines et fait progresser les efforts de réconciliation du gouvernement. L’une de ces initiatives est l’inclusion d’installations commémoratives et culturelles dans les centres énergétiques de Cliff et du CEG. Comme autre exemple de la réconciliation en pratique, le PASE a embauché les Gardiens de Kitigan Zibi Anishinabeg (KZA) pour créer et mettre à exécution un programme de surveillance, afin d’assurer la protection future de la rivière des Outaouais.
En outre, le PASE crée des emplois, dont la plupart sont situés dans la RCN. Comptant plus de 1 800 travailleurs de la construction, le projet s’est classé au 23e rang des projets d’infrastructure (en anglais seulement) affichant la plus grande envergure au Canada en 2021.
Le PASE s’est également engagé auprès de la Première Nation algonquine Anishinabe, en explorant les possibilités commémoratives et économiques afin de garantir une forte présence algonquine dans les projets. Ce faisant, le PASE crée des possibilités économiques pour les collectivités algonquines et fait progresser les efforts de réconciliation du gouvernement. L’une de ces initiatives est l’inclusion d’installations commémoratives et culturelles dans les centres énergétiques de Cliff et du CEG. Comme autre exemple de la réconciliation en pratique, le PASE a embauché les Gardiens de Kitigan Zibi Anishinabeg (KZA) pour créer et mettre à exécution un programme de surveillance, afin d’assurer la protection future de la rivière des Outaouais.
Le parcours vers la carboneutralité
Une fois terminé en 2026, le REQ modernisé de la RCN entraînera une réduction de 92 pour cent des GES émis par le chauffage et le refroidissement des bâtiments reliés au réseau par rapport au niveau de 2005. D’ici 2030, le réseau sera en position d’être carboneutre.
Des études sont en cours pour évaluer si le REQ de la RCN pourrait être élargi, afin d’offrir ses services d’énergie propre à un nombre accru de bâtiments.
Des études sont en cours pour évaluer si le REQ de la RCN pourrait être élargi, afin d’offrir ses services d’énergie propre à un nombre accru de bâtiments.
L’écologisation du REQ de la RCN comporte de nombreuses étapes.
Actuellement, le système utilise le gaz naturel pour produire de la vapeur. La transition de la vapeur à un système d’eau chaude à basse température pour le chauffage et aux refroidisseurs électriques pour le refroidissement réduit considérablement l’intensité énergétique nécessaire pour chauffer les nombreux bâtiments reliés au réseau. En outre, il permet au PASE de remplacer l’équipement dépendant des combustibles fossiles par des chaudières et des refroidisseurs électriques. Pour la boucle du centre-ville du REQ de la RCN, l’électricité proviendra principalement du réseau électrique décarboné à 99 pour cent d’Hydro-Québec, ce qui remplacera les combustibles fossiles comme principale source d’énergie de quartier.
D’ici 2026, le réseau sera, en grande partie, électrifié, ce qui permettra de réduire les GES de 92 pour cent par rapport aux niveaux de référence de 2005. D’ici 2030, le réseau sera en position d’être carboneutre.
Actuellement, le système utilise le gaz naturel pour produire de la vapeur. La transition de la vapeur à un système d’eau chaude à basse température pour le chauffage et aux refroidisseurs électriques pour le refroidissement réduit considérablement l’intensité énergétique nécessaire pour chauffer les nombreux bâtiments reliés au réseau. En outre, il permet au PASE de remplacer l’équipement dépendant des combustibles fossiles par des chaudières et des refroidisseurs électriques. Pour la boucle du centre-ville du REQ de la RCN, l’électricité proviendra principalement du réseau électrique décarboné à 99 pour cent d’Hydro-Québec, ce qui remplacera les combustibles fossiles comme principale source d’énergie de quartier.
D’ici 2026, le réseau sera, en grande partie, électrifié, ce qui permettra de réduire les GES de 92 pour cent par rapport aux niveaux de référence de 2005. D’ici 2030, le réseau sera en position d’être carboneutre.
Les REQ modernes permettent de chauffer et de refroidir des bâtiments au moyen de différentes solutions énergétiques à faibles émissions de carbone et renouvelables, dont la valorisation énergétique des déchets, le gaz naturel renouvelable, l'utilisation des déchets de la biomasse, les thermopompes, les systèmes d’énergie éolienne et solaire, les réacteurs micro-modulaires, et autres.
Le PASE dirige un certain nombre d’études visant à explorer la faisabilité de l’introduction, d’ici 2030, de nouvelles sources d’énergie durables afin de positionner l’ensemble du REQ de la RCN carboneutre.
Le PASE dirige un certain nombre d’études visant à explorer la faisabilité de l’introduction, d’ici 2030, de nouvelles sources d’énergie durables afin de positionner l’ensemble du REQ de la RCN carboneutre.